Mieux communiquer comporte deux parties :
Je m’attarderai sur la première étape de la communication et pas sur la deuxième.
La première consiste sur tout ce que vous allez apprendre de vous-même via votre communication interne et les émotions que vous pouvez ressentir.
La deuxième communication est celle que vous entamez avec des personnes de votre entourage, votre manière d’interagir avec les autres et entrer en contact. Cet aspect est beaucoup plus développé dans les challenges sportifs internationaux que je réalise et moins dans cet article pour savoir mieux communiquer.
Mieux communiquer = ma responsabilité, ma vie, ma communication
La communication est utilisée depuis la nuit des temps pour les échanges entre les humains et avant même de pouvoir échanger avec d’autres.
Nous avons notre propre communication interne qui nous permet de nous comprendre, d’identifier nos attentes, nos émotions et de pouvoir y répondre favorablement ou non.
Ce point prend toute son importance quand on sait que la qualité de notre vie dépend véritablement de la qualité de notre communication personnelle et notre communication interactionnelle.
De cette manière, dans votre vie, rien n’a de sens hormis celui que vous allez lui donner.
Nous avons vu dans la première partie qu’en fonction de notre socialisation primaire et secondaire nous avons une vision du monde qui nous entoure et une perception de ce que l’on fait.
C’est donc dans cette première partie de la connaissance de vous-même que vous avez le plus d’impact sur la communication avec vous-même.
En effet, toute la manière dont vous percevrez des choses dans votre monde interne aura une répercussion tangible et importante dans le monde externe.
Toutes les incidences seront plus ou moins significatives en fonction de la manière dont vous interagissez avec votre monde interne et les changements que vous y ferez.
Mieux communiquer c’est comprendre les 3 niveaux de communication
1. Le LOGOS
La première forme de communication passe par ce qu’on appelle la parole.
C’est la raison, la partie logique et réfléchie de votre être qui va vous permettre véritablement de communiquer via ce qu’on appelle les “mots”.
Vous donnerez à ces derniers le sens – votre sens – en fonction de votre socialisation primaire et secondaire. Le pourcentage de cette communication se monte uniquement à 7%.
2. Le PATHOS
C’est ce que l’on peut appeler l’empathie que l’on va mettre dans la communication.
C’est la partie la plus importante pour le monde émotionnel car c’est avec le pathos que l’on va générer l’émotion, la communication de ses sentiments à travers un message.
Cela englobe notamment le ton de la voix et toutes les intonations ainsi que le verbal qui transmettra un message avec une insistance plus ou moins forte en fonction des sentiments que vous allez y inclure.
Il est estimé que cette partie de la communication compte pour 38 %.
3. L’ETHOS
C’est la partie de votre communication qui fera transparaître vos caractéristiques personnelles.
Il s’agit de votre caractère et de la confiance que vous inspirez au travers de ce type de communication.
Il s’agit de l’attitude non verbale qui vous permettra de transmettre l’information que vous désirez via un canal très important et qui aura un impact énorme sur votre interlocuteur.
Cette communication est évaluée à 55 % du message.
D’accord, comment fait-on pour communiquer correctement ?
2 croyances clés pour mieux communiquer de manière impactante
CROYANCE #1 : “Ce n’est pas ce qui se passe qui est important mais c’est ce que vous faites”
Revenons dans votre enfance et analysons comment vous avez entamé la communication. Lorsque vous êtiez en bas âge, vous observiez votre environnement et répétiez tout ce que vous voyiez pour l’essayer.
Vous procédiez par essai et erreur en fonction de ce qui est bien pour vous et ce qui est à abandonner. C’est pour cette raison qu’une communication qui va à l’encontre d’un acte est totalement discordante pour un enfant.
Vous avez tous fait l’expérience dans votre vie d’interdire quelque chose à un enfant et la première chose qu’il fait c’est de la réaliser. Il est d’une importance primordiale que votre communication soit totalement congruente.
C’est-à-dire que votre esprit autant que votre communication verbale et votre attitude interagissent tous de concert pour avoir l’impact souhaité.
Tu veux dire que si je dis à un enfant de ne pas monter dans un arbre et que je ne suis pas cohérent, il va y monter ?
Oui, il y a de très grandes chances. Car l’enfant retiendra de ton discours ce qui a été le plus pertinent et le plus percutant.
Si par exemple, comme moi, vous avez adoré monter aux arbres en étant enfant, je n’ai pas toute la pertinence requise pour exprimer à un enfant une interdiction de monter aux arbres.
Car dans ma socialisation primaire et secondaire j’ai inclus ça comme un passe-temps agréable pour lequel j’ai pris beaucoup de plaisir et l’enfant ressentira cela bien plus fort que les mots que je pourrai utiliser. Il y a même des chances pour que j’aille monter dans l’arbre avec lui.
De même, si vous apprenez à un enfant qu’il ne doit pas jeter ses papiers par terre et que dans les actes vous le réalisez constamment, il comprendra que votre message : « Tu ne jettes pas de papiers par terre » signifie qu’il peut jeter des papiers à terre tout comme vous.
C’est vraiment l’action de votre communication qui déterminera l’impact que vous avez.
Maintenant, ce qui est sensationnel c’est qu’il n’y a pas de relation absolue entre deux expériences dans la vie. C’est-à-dire, qu’en tant qu’être humain, vous avez la possibilité de modifier un comportement en fonction d’une communication que vous avez reçu.
Je reviens à l’enfant qui, par mimétisme, va jeter ses papiers par terre. Il est tout à fait capable d’apprendre par lui-même que jeter des papiers par terre n’est pas un signe responsable pour un adulte, ni même écologique pour l’environnement. Il est tout à fait capable de modifier sa première expérience pour une expérience plus respectueuse de l’environnement.
De cette manière, l’humain apprend toujours dans l’action et la meilleure question à se poser en fonction d’une action qu’il met en place c’est : « Quelle est la suite ? ».
CROYANCE #2 : “Pour que les choses changent pour vous, vous devez changer.”
Cette croyance est primordiale si vous souhaitez avancer dans les projets que vous mettez en place et passer à l’action encore plus rapidement.
Vous êtes le plus grand succès et la plus grande victime de votre socialisation primaire et secondaire.
Afin de pouvoir changer les choses autour de vous, vous devez d’abord les changer dans votre monde intérieur et pour cela vous devez agir par la communication sur ce même monde.
Votre fonctionnement personnel est vraiment comme le processeur d’un ordinateur. Si vous voulez voir s’afficher sur l’écran un film en haute définition avec le meilleur son possible, il est nécessaire au préalable que l’ordinateur soit équipé du processeur qui pourra gérer le lecteur DVD haute définition. Ensuite, d’avoir une installation sonore qui permet d’avoir un son impeccable et enfin d’avoir un écran qui permet d’afficher l’image en haute résolution.
Si les prérequis ne sont pas présents, il y a de grandes chances pour que vous ne voyiez rien sur votre écran. C’est la même chose dans votre vie !
Nombreux sont ceux qui espèrent voir la réalité en haute définition et qui ne sont pas prêts à investir dans un processeur interne qui pourra afficher cette haute définition.
Bon, de manière imagée : comment je fais pour avoir la « haute définition » ? Comment je fais pour adapter mon système interne à un nouveau/plus grand système externe ?
De manière très simple, tu peux reproduire le schéma que tu as réalisé lors de ta socialisation primaire, c’est-à-dire par mimétisme.
Je te conseille vivement de trouver la personne qui t’inspire le plus et qui a déjà réussi des projets que tu veux réaliser et – tout simplement – fait exactement la même chose.
Mieux communiquer : la recette des émotions
Les émotions sont créées par le mouvement et donc plus spécifiquement l’action. Vous avez certainement tous entendu l’expression lorsque vous allez dans un parc d’attraction où une personne dira “ Waaaaaw, que d’émotions !”. Et elles ont tout à fait raison car c’est dans l’action plus intense que les émotions ressortiront toujours plus fort.
Afin de mieux comprendre comment l’action produit des émotions, je vous explique ci-dessous les différents styles d’apprentissage et les filtres par lesquels l’action générera des émotions.
Les différents styles d’apprentissage
Chaque être humain apprend de manière différente. Les personnes développent des capacités sensorielles selon les événements et cela à des degrés divers.
Lorsque certains vont apprendre de manière très visuelle, d’autres ne parviennent pratiquement pas à former des images dans leur esprit. Une autre personne utilisera le verbal à outrance pour parler d’une expérience.
Elle l’exprimera aisément et facilement tandis que d’autres auront de véritables difficultés à trouver les mots adéquats. Il est vrai aussi que les mots peuvent induire de profondes confusions.
D’autres se fient davantage à leur ressenti, à leurs sensations ou encore aux messages internes qu’ils n’expliquent pas et c’est par ce biais qu’ils appréhenderont le monde extérieur.
Bien entendu, chaque personne imagine que les autres utilisent le même canal d’apprentissage qu’elle. Cela semble évident car c’est notre propre perception du monde.
Et pourtant, les autres utilisent souvent un autre canal. C’est véritablement en apprenant à communiquer sur le même canal d’apprentissage que votre interlocuteur que vous établirez un rapport de confiance fort et assurerez une communication personnelle et interactionnelle efficace.
Mais pourquoi connaître les canaux d’apprentissage des autres alors que c’est le nôtre qui est le plus important ?
Pour apprendre à mieux communiquer de manière à impacter et ressentir les émotions de la personne qui se trouve en face de toi, tu étends ton propre apprentissage et ta communication de plusieurs façons :
- Premièrement, tu peux te synchroniser avec le canal le plus utilisé et valorisé de ton interlocuteur. Cela permettra d’avoir une communication beaucoup plus rapide et compréhensible.
- Deuxièmement, tu peux mobiliser un canal peu utilisé chez l’autre personne afin de stimuler des nouvelles manières de penser ou de percevoir. C’est très utile lorsque tu veux créer des changements d’état, autant pour toi que pour les personnes qui t’écoutent.
- Troisièmement, tu peux mettre l’accent sur le canal de représentation le plus approprié qui conviendra le mieux pour une catégorie de tâches d’apprentissage. Par exemple, tu peux expliquer à quelqu’un de manière mentale et imagée comment se déroule un match de football. Par contre, si tu utilises le mode d’apprentissage par l’action en mettant la personne en situation sur un terrain avec des joueurs, l’apprentissage se fera beaucoup plus vite.
- Quatrièmement, tu peux vraiment faire ressortir les connexions entre les divers canaux de représentation. Prenons l’exemple d’une équipe qui s’apprête à réaliser un challenge sportif international. Si chacun des membres est capable de bien cerner son mode d’apprentissage, en fonction de l’utilité pour l’entièreté du groupe, ils décideront d’utiliser un canal de représentation plutôt qu’un autre pour performer ensemble.
Les six filtres d’apprentissage
Ces filtres donnent un sens à la réalité du monde extérieur. Ils sont constitués par nos 5 sens, que l’on désigne en PNL[1]par le VAKOG et un sixième représenté par la lettre S.
- V pour VISUEL
- A pour AUDITIF
- K pour KINESTHESIQUE
- O pour OLFACTIF
- G pour GUSTATIF
- S pour SPIRITUEL
Certes l’Olfactif et le Gustatif jouent un rôle et permettent de graver dans notre mémoire des expériences passées, parfois très agréables ou désagréables, comme par exemple le fait de se rappeler son plat favori, nous fait saliver et notre sens Gustatif est en émoi. A l’inverse, « boire la tasse d’eau de mer » nous est très désagréable. Quant au sens Spirituel, il est très difficile de le mesurer chez tout un chacun.
Nous allons donc nous intéresser ici aux trois sens les plus utilisés chez les humains : Visuel, Auditif et Kinesthésique.
Souvent, l’un des sens est déterminant chez une personne, et c’est par son intermédiaire que naissent les émotions. Le Visuel et l’Auditif sont assez explicites, concernant le Kinesthésique, on distingue le Kinesthésique externe (le toucher) et le kinesthésique interne (autrement désigné par état interne).
Cela a vraiment l’air génial et comment je sais quel est mon style d’apprentissage ?
Il existe différentes manières de savoir lequel est le sien. La meilleure restera toujours votre expérience personnelle. Un bon moyen est de se rappeler comment vous étudiez à l’école. En parlant et répétant tout haut – Auditif, en réalisant de nombreux schémas sur un support quelconque pour avoir une image claire de ce que vous devez apprendre – Visuel, en marchant continuellement, en faisant de grands gestes, en sentant les choses comme une diminution de votre niveau de stress lorsque la matière est bien assimilée – Kinesthésique.
Euh, oui ? Toujours pas non. Je n’ai aucune idée de mon style d’apprentissage pour mieux communiquer …
Je te propose l’exercice ci-dessous, il est tiré du livre de Robert Dilts “Être coach ; de la recherche de la performance à l’éveil”. Il te donnera de très bonnes pistes afin de trouver ton style d’apprentissage.
Test pour mieux communiquer et trouver votre filtre d’apprentissage dominant V – A – K
Répondez aux 12 questions le plus rapidement possible. Certaines questions peuvent avoir plusieurs réponses, dans ce cas, notez-les par ordre décroissant d’importance.
1. Parmi les passe-temps suivants, lequel préférez-vous ?
- k) promenade dans le jardin/la nature/la danse ?
- V) le dessin/la peinture/le tourisme/la photographie ?
- A) la musique/le chant/conter des histoires ?
2. Pour acquérir une nouvelle compétence, préférez-vous :
- A) entendre une description et poser des questions ?
- V) voir des diagrammes et regarder des démonstrations ?
- k) faire des exercices ?
3. Lorsque vous voulez enseigner quelque chose aux autres, est-ce que :
- V) vous créez des images pour eux ?
- A) vous l’expliquez logiquement ?
- K) vous les guidez par l’expérience physique ?
4. Une personne vous donne un numéro très important (Ex ; un numéro de téléphone ou compte bancaire) à vous rappeler. Afin d’être sûr de vous en rappeler :
- A) Vous le répétez à vous-même ou à quelqu’un d’autre ?
- V) vous en faites une image mentale ?
- K) vous l’écrivez ou le tapez plusieurs fois ?
5. Vous devez faire une présentation orale à un petit groupe. Êtes-vous plus à l’aise de faire cette présentation une fois que :
- A) vous avez une bonne idée du ton et des mots que vous souhaitez communiquer ?
- V) vous avez des notes et des diagrammes que vous pouvez regarder pendant votre présentation ?
- K) vous répétez la présentation plusieurs fois ?
6. Vous avez acheté un article qui requiert un montage. Est-ce que la manière de l’assembler la plus facile pour vous serait :
- A) écouter un enregistrement décrivant les différentes étapes à suivre ?
- V) de voir une vidéo ou lire les instructions sur le montage ?
- K) de commencer à l’assembler et d’apprendre à le monter en faisant des essais et erreurs ?
7. Vous avez en charge la maison d’un ami pendant que celui-ci est en vacances. Vous devez apprendre rapidement comment prendre soin du jardin et des animaux. Est-il préférable pour vous que :
- A) vous preniez des instructions et les discutiez en détail ?
- V) vous regardez quelqu’un le faire ?
- K) quelqu’un vous montre et explique à la fois ?
8. Vous n’êtes pas sûr de la façon d’épeler « étonnamment ». Est-ce que :
- V) vous visualisez le mot mentalement et choisissez celle qui vous semble juste ?
- A) vous l’épelez mentalement ?
- K) vous l’écrivez de plusieurs façons et vous écrivez celles qui vous semble la bonne ?
9. Préférez-vous un professeur qui utilise constamment ;
- V) des représentations graphiques/des documents/des diapos ?
- K) des sorties éducatives/des laboratoires/des séances pratiques ?
- A) des discussions/des conférences ?
10. Vous avez des difficultés à trouver un chemin vers l’hôtel dans une ville où vous restez seulement quelques jours. Est-ce que :
- K) vous conduisez ou essayez de trouver des repères familiers ?
- A) écouter quelqu’un qui l’explique ?
- V) vous regardez une carte ?
11. Rappelez-vous d’un moment dans votre vie où vous avez dû apprendre quelque chose comme, par exemple, jouer à un nouveau jeu de société. Qu’est-ce qui vous en a facilité l’apprentissage ?
- V) des indices visuels – images, diagrammes, instructions écrites ?
- A) écouter quelqu’un qui l’explique ?
- K) l’expérimenter/l’essayer ?
12. Vous avez besoin d’apprendre un nouveau programme d’ordinateur. Est-ce que :
- K) vous demandez à un ami de vous faire une démonstration ?
- V) vous regardez le manuel d’utilisation ?
- A) vous téléphonez à un ami et lui posez des questions ?
Notez le nombre de V : ………….., A : ………….., K : ………….. que vous obtenez.
Mieux communiquer en étant VISUEL
Le visuel utilise une mémoire eidétique, c’est-à-dire qu’il mémorise plus facilement les images, les schémas, les photos, les personnes… Pour les études, il est conseillé de bien écrire ses cours, de faire des fiches simples et bien construites ; il ne faut pas hésiter non plus à faire de beaux schémas explicatifs. Mémoriser le tableau de synthèse qu’a donné le présentateur est sans aucun doute une solution efficace pour la personne au profil visuel dominant.
Le visuel est souvent une personne organisée, qui planifie tout à l’avance, elle aime contrôler la situation et agir.
Mieux communiquer en étant AUDITIF
L’auditif retient aisément les sons, les bruits…Bref, tout ce qu’il peut entendre. Pour se rappeler des choses, il les répète plusieurs fois à haute voix. Une solution évidente pour lui ? Être attentif à un exposé. Pour réviser, notre conseil : lire les notes à haute voix. Sinon, il peut suivre des cours vidéo, c’est une alternative efficace.
L’auditif est une personne qui réfléchit longuement avant d’agir et préfère être sûr de son coup.
Mieux communiquer en étant KINESTHÉSIQUE
Le kinesthésique associe souvenir, mémoire à des sensations : une odeur, une émotion, un goût, une atmosphère. Si vous êtes kinesthésique, pour retenir les choses, vous devez les vivre, les pratiquer, posez-vous les questions : « pourquoi ci ou pourquoi ça ? » et répondez-y. Travaillez dans des endroits que vous aimez avec une bonne atmosphère et évitez de travailler seul. Une bonne idée : organiser des échanges avec une personne que vous appréciez.
Le kinesthésique sera toujours attentif à son environnement immédiat. Il a besoin de se sentir bien entouré pour que tout s’aligne en lui et lui permette de donner le meilleur de lui-même.
[1]La programmation neurolinguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est une méthodologie qui prétend « agir sur les comportements au moyen du langage », élaborée par Richard Bandler et le linguiste John Grinder dans les années 1970 aux États-Unis. Plus précisément, c’est « une pratique et un modèle psychothérapeutique qui trouve son origine dans la formalisation de pratiques communicationnelles et cliniques de certains thérapeutes d’exception », parce que la PNL tente de modéliser les stratégies de réussite d’experts reconnus afin de les transférer à d’autres personnes.
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Programmation_neuro-linguistique